vendredi 4 février 2011

Et Jouer à la Gameboy, Oublier ses Peines

Et Jouer à la Gameboy, Oublier ses Peines…




Et jouer à la Gameboy, oublier ses peines, regarder tomber les hommes comme des feuilles d'automne...
Et manquer son haleine, ses souffles tremblant sa douceur, sa connerie et ses côtés méchants...
Pleurer dans une assiette, espérer se nourrir... D'une tristesse de mauviette et attendre de mourir.

Allons tous, nous faire foutre dans le cul d'une loutre! Arrêtons enfin de se voiler la face c'est bien moins efficace qu'une balle dans la tête... Tuer par Drucker, quelle putain de misère! Une inspiration qui me dépasse et qui à force me lasse. Des écrits mal écrits mal aimés mal pensés et mal ... digérés. Une voix mal maîtrisée et vraiment à chier. Des artistes sont tous nés dans la même période. Je me sens à côté, dans la marge de mon I Pod...
Une liste de lecture pour rythmer ta vie. Et tout un tas de fictions pour tromper l'ennui. Et la Philo me déçoit plus que mon propre Moi. La pluie tombe encore, à travers mon toit. Un charme de mec paumé qui finit par blaser. Et des chansons dans la tête...à faire espérer.

Et jouer à la Gameboy, oublier ses peines et regarder le couteau à beurre pour se titiller les veines. Et sentir dans le cou une force obscure. Regretter par sessions, les choses qui étaient si sûres... Un abus de suspension, un Jump en extension. Toucher la Lune blonde, ou allumer la bombe?
Une rentrée déprimé déprimante...des chansons, imprimées, imprimantes... les écrits volent, les écrits mentent.
Reste d'un verre d'eau au citron, aussi bon, à la menthe. A quoi sont les crocos verts chez Haribo? Pourquoi je désespère devant tant d'eau? Ou même devant ma Nintendo?

Et jouer à la Gameboy, oublier ses peines....

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